Pilier oriental de l’OTAN depuis 1952, la Turquie a semé le malaise parmi ses alliés en signant, en 2017, un contrat de 2,5 milliards de dollars (2,2 milliards d’euros) avec la Russie pour la fourniture de missiles russes antiaériens S-400, incompatibles avec les systèmes de défense aérienne de l’Alliance.
