Ces sommes s’ajoutent au coût déjà élevé de la meule elle-même. En 1728 le meunier de Domène, s’il s’était contenté d’une « pierre grait de pays », n’aurait déboursé que 63 livres, alors qu’en optant pour les meules des Sébelin, ce sont 50 % d’écus en plus – 90 livres – qu’il doit sortir de son escarcelle [59] .
