A partir de ses observations dans la forêt de Tronçais (labours, sous-bois ratissés, fossés sur creusés, cloisonnements qui mettent fin à la sensation de continuité forestière, broyage inesthétiques de la végétation), il réalise que le chêne est cultivé par une « hyper technique » qui n’a rien à envier aux pratiques agricoles ...
